Louveciennes maison jean-pierre pernaut

Le 2 mars dernier, Jean-Pierre Pernaut s'est éteint des suites d'un cancer de la prostate et du poumon. Si l'enterrement a eu lieu quelques jours plus tard, le mystère planait quand à l'endroit exact où le présentateur avait été enterré. L'ancienne reine de beauté a donc apporté des précisions nécessaires sur le lieu d'inhumation de son mari, à savoir Louveciennes, dans les Yvelines (78) en région parisienne. "J'ai la chance de me rendre presque tous les jours au cimetière, car il a été inhumé près de la maison et pas à Amiens comme tout le monde le pense", a ainsi déclaré Nathalie Marquay à Gala.

"Il restait une place. Jean-Pierre l'a eue"

Un lieu qui n'a pas été choisi au hasard et prise d'un commun accord par les époux, 20 ans auparavant. "Quand on a acheté cette maison, située non loin d'une maison de retraite et d'un cimetière, on en rigolait beaucoup avec Jean-Pierre., poursuit-elle, toujours à Gala. Je lui disais en plaisantant : 'Comme tu as 17 ans de plus que moi, je te mettrai à la maison de retraite quand tu seras en chaise roulante. Et quand tu ne seras plus là, je pourrai aller te voir tous les jours au cimetière ici !'"

Au-delà de cette plaisanterie, Louveciennes apparaissait comme l'endroit le plus cohérent pour le faciliter aussi le deuil de leurs enfants. "Pour aller le voir autant de fois que nous le voulions. Il restait une place. Jean-Pierre l'a eue", conclut-elle dans Gala.

Voilà près de neuf mois qu'il a cédé les manettes du JT de TF1 à Marie-Sophie Lacarrau. Sans parler de retraite – il s'occupe de sa chaîne, JPP TV, de son magazine Au cœur des régions et anime son émission Jean-Pierre et vous – votre argent, le vendredi sur LCI – le journaliste profite néanmoins de la vie comme il ne l'a jamais fait. Fin gourmet revendiqué, cet amateur de produits frais ne manque désormais plus un seul marché dominical, à Versailles ou Marly-le-Roi.

Il y succombe sans remords à la tentation d'une bonne choucroute, d'un poulet rôti, ou d'une tête de veau, son péché mignon. Et il peut s'adonner à loisir à sa passion : le jardinage. Il faut dire que le grand parc de 6 000 mètres carrés entourant sa maison de Louveciennes, dans les Yvelines, où il habite depuis plus de vingt ans, s'y prête à merveille !

Il adore ainsi « être assis [dans son jardin], admirer les arbres, ramasser les feuilles mortes, observer les oiseaux qui volent dans le ciel ou les écureuils qui grimpent aux branches, et regarder les fleurs ». Parmi les nombreuses variétés qui ornent sa propriété, les roses sont ses préférées. L'une d'elles, créée par le producteur Matthias Meilland, porte d'ailleurs son nom...

Bref, dans son petit paradis, celui qui se définit comme « un homme de la campagne » ne s'ennuie jamais ! Si, à 71 ans, le Picard a bien dû se faire aider pour les gros travaux d'entretien, il plante, arrose, sème, et passe lui-même la tondeuse, dans le respect des règlements locaux, bien sûr. Jean-Pierre n'a donc qu'une envie : continuer à vivre en harmonie avec son entourage proche et profiter le plus longtemps possible de ce havre de paix.

Or il semble bien que cette belle perspective soit, depuis quelque temps, hélas menacée ! L'un des terrains, situé à l'extrémité de sa demeure, pourrait bien abriter à terme de nouvelles constructions immobilières : 89 habitations dont 64 logements sociaux. Un cauchemar pour le journaliste, qui se sent menacé à plus d'un titre. En effet si, d'une part, cette proximité ne le réjouit pas, mais alors pas du tout, de l'autre, ce projet implique aussi un véritable massacre, auquel s'oppose catégoriquement Jean-Pierre. « Certains élus veulent créer un écoquartier en abattant des arbres centenaires dans un site classé du fait de la proximité d'un monument historique », déplore-t-il, toujours dans Le Parisien.

Le monument en question n'est autre que l'aqueduc édifié par Mansart en 1685 pour alimenter en eau les jardins du château de Versailles. À cette magnifique construction en pierre pourraient bien être prochainement accolés six immeubles de quelque 12 mètres de hauteur ! Inenvisageable pour l'époux de Nathalie Pernaut !

D'ailleurs, comme il le clame haut et fort, si par malheur cette mini-cité voit le jour, il quittera son petit coin d'éden, ce qui lui est un vrai crève-cœur.

Donc, en attendant la décision finale, Jean-Pierre résiste, tant qu'il le peut. Depuis des mois, il s'est lancé à corps perdu dans la bataille. Aidé par son confrère, le très médiatique monsieur Patrimoine, Stéphane Bern, et soutenu par de nombreuses associations de protection de l'environnement, l'ex-pape de la Une ne désespère pas d'obtenir gain de cause...

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Où habite Jean

Située près du Beffroi, au cœur du quartier historique de la capitale de la Somme, la Halle au frais devrait bientôt être appelée Halle Jean-Pierre Pernaut.

Où est enterré Jean

Jean-Pierre Pernaut n'est pas enterré en Picardie, confirme sa femme Nathalie Marquay. La veuve du journaliste picard a indiqué que son mari reposait en région parisienne. Le lieu avait fait l'objet d'intenses spéculations, notamment à Bouvaincourt-sur-Bresle, village de la vallée de la Bresle.

Quel âge a Olivier et Julia Pernaut ?

Julia Pernaut est née en 1978. Elle est la fille de Jean-Pierre Pernaut et de sa première épouse Dominique Bonnet. Elle a un frère cadet, Olivier, né en 1981.

Pourquoi Nathalie Marquay doit déménager ?

« Tout en préparant leur déménagement parce qu'ils quittaient leur maison à Louveciennes pour s'installer à Antony où ils avaient trouvé une nouvelle propriété », poursuivait Isabelle Morini-Bosc, amie du couple.