Les conséquences du réchauffement climatique -- Wikipédia

L’utilisation de combustibles fossiles, la déforestation et l’élevage de bétail influent de plus en plus sur le climat et la température de la terre.

Ces activités libèrent d'énormes quantités de gaz à effet de serre, qui viennent s'ajouter à celles naturellement présentes dans l’atmosphère, renforçant ainsi l'effet de serre et le réchauffement de la planète.

Le réchauffement climatique

La période 2011-2020 a été la décennie la plus chaude jamais enregistrée. En 2019, la température moyenne de la planète se situait 1,1 °C au-dessus des niveaux de l’ère préindustrielle. Le réchauffement climatique dû aux humains augmente actuellement à un rythme de 0,2 °C par décennie.

Une augmentation de 2°C par rapport à la température de la période préindustrielle est le seuil au-delà duquel de graves répercussions sur l’environnement naturel ainsi que sur la santé et le bien-être des personnes sont à craindre et le risque d'assister à des changements climatiques dangereux, voire catastrophiques, est beaucoup plus élevé.

C'est pourquoi la communauté internationale a reconnu la nécessité de maintenir le réchauffement de la planète en dessous de 2 °C et de poursuivre nos efforts pour le limiter à 1,5 °C.

Les gaz à effet de serre

Le principal moteur du changement climatique est l’effet de serre. Certains gaz de l’atmosphère terrestre agissent à la manière des parois d’une serre: ils permettent à l'énergie solaire d'entrer dans l'atmosphère mais l'empêchent de s'en échapper, provoquant le réchauffement climatique.

Un grand nombre de ces gaz à effet de serre sont naturellement présents dans l'atmosphère, mais les activités humaines accroissent les concentrations de certains d’entre eux, en particulier:

  • le dioxyde de carbone (CO2);
  • le méthane;
  • le protoxyde d'azote;
  • les gaz fluorés.

Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l’atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750).

D’autres gaz à effet de serre sont émis par les activités humaines en moindres quantités. Le méthane est un gaz à effet de serre plus puissant que le CO2, mais sa durée de vie dans l’atmosphère est plus courte. Le protoxyde d’azote, comme le CO2, est un gaz à effet de serre à longue durée de vie qui s’accumule dans l’atmosphère pour des décennies, voire des siècles. Les polluants autres que les gaz à effet de serre, notamment les aérosols tels que la suie, ont des effets de réchauffement et de refroidissement différents et sont également associés à d’autres problèmes, tels que la mauvaise qualité de l’air.

Selon les estimations, les causes naturelles, telles que les variations du rayonnement solaire ou de l’activité volcanique, ont contribué pour moins de 0,1 °C au réchauffement total entre 1890 et 2010.

Les causes de la hausse des émissions

  • La combustion du charbon, du pétrole et du gaz produit du dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote.
  • L'abattage des forêts (déforestation). Les arbres contribuent à réguler le climat en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère. Lorsqu'ils sont abattus, cet effet positif est perdu et le carbone stocké dans les arbres est libéré dans l'atmosphère, aggravant l'effet de serre.
  • L'augmentation de l’élevage. Les bovins et les ovins produisent de grandes quantités de méthane lorsqu’ils digèrent leur nourriture.
  • Les engrais contenant de l'azote produisent des émissions de protoxyde d'azote.
  • Les gaz fluorés sont émis par les équipements et les produits qui utilisent ces gaz. Ces émissions ont un effet de réchauffement considérable, jusqu'à 23 000 fois supérieur à celui du CO2.

Lutter contre le changement climatique

Étant donné quechaque tonne de CO2 émise contribue au réchauffement mondial, toutes les réductions d’émissions contribuent à ralentir ce phénomène. Pour stopper complètement le réchauffement de la planète, il faut parvenir à zéro émission nette de CO2 au niveau mondial. En outre, la réduction des émissions d’autres gaz à effet de serre, tels que le méthane, peut également avoir un effet important sur le ralentissement du réchauffement climatique, en particulier à court terme.

Les conséquences du changement climatique sont extrêmement graves et touchent de nombreux aspects de notre vie. Tant la lutte contre le changement climatique que l’adaptation à un monde qui se réchauffe sont des priorités absolues pour l’UE. Nous devons agir pour le climat dès maintenant. Découvrez ce que fait l’UE pour lutter contre la crise climatique.

Qu’est-ce que le réchauffement climatique ? Quelle est sa définition scientifique ? Quelle sont les causes et les conséquences ? Explications pour tout comprendre.

Définitions du réchauffement climatique

Définition simple du réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est un phénomène global de transformation du climat caractérisé par une augmentation générale des températures moyennes (notamment liée aux activités humaines), et qui modifie durablement les équilibres météorologiques et les écosystèmes.
Lorsque l’on en parle aujourd’hui, il s’agit du phénomène d’augmentation des températures qui se produit sur Terre depuis 100 à 150 ans. Depuis le début de la Révolution Industrielle, les températures moyennes sur terre ont en effet augmenté plus ou moins régulièrement. En 2016, la température moyenne sur la planète terre était environ 1 à 1.5 degrés au dessus des températures moyennes de l’ère pré-industrielle (avant 1850).

Définition scientifique du réchauffement climatique

De façon plus précise, lorsque l’on parle du réchauffement climatique, on parle de l’augmentation des températures liées à l’activité industrielle et notamment à l’effet de serre : on parle donc parfois du réchauffement climatique dit « d’origine anthropique » (d’origine humaine). Il s’agit donc d’une forme dont les causes ne sont pas naturelles mais économiques et industrielles.
De nombreux scientifiques étudient ce phénomène et tentent de comprendre comment les activités des sociétés humaines provoque ce réchauffement. Ces scientifiques sont regroupés au sein du GIEC (Groupe International d’Experts sur le Climat), et ils publient régulièrement des rapports étudiant l’évolution du réchauffement climatique (voir plus bas).

Histoire de la science climatique

Premières découvertes de l’effet de serre et définition du réchauffement climatique

Les premières suppositions sur l’effet de serre sont faites par le scientifique Jacques Fourier en 1824. Plusieurs scientifiques après lui vont étudier et tenter de quantifier le phénomène, comme Claude Pouillet et John Tyndall. Mais la première expérience de validation et de quantification précise de l’effet de serre est faite par le scientifique Svante Arrhenius à la fin du XIXème siècle. Dans les années 1890, il découvre qu’un air riche en gaz carbonique retient plus la chaleur des rayonnements solaires, ce qui conduit à une augmentation de la température de l’air. Il en conclut que si l’on rejette dans l’atmosphère de grandes quantités de carbone (à cause des activités industrielles fonctionnant par la combustion du charbon), l’air va se charger en CO2 et retenir plus de chaleur. Les premières estimations de l’augmentation des températures faites par Arrhenius ou d’autres scientifiques de l’époque comme le géologue Thomas Chamberlin sont les suivantes : si l’on double la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, la température moyenne augmentera de 5 degrés. En 1901, Gustaf Ekholm utilise pour la première fois le terme « effet de serre » pour décrire le phénomène.
Pendant plusieurs décennies ces découvertes ne sont pas prises au sérieux dans la communauté scientifique. À l’époque beaucoup de spécialistes estiment que la nature pouvait s’auto-réguler et que l’impact de l’homme était minime. Notamment, beaucoup de scientifiques pensaient que le surplus de CO2 serait de toute façon absorbé par l’océan, ce qui est vrai, mais pas totalement. Toutefois, la thèse de la possibilité d’un réchauffement climatique lié aux gaz à effet de serre (dont le gaz carbonique) finit par être validée dans les années 1940 par Gilbert Plass. À l’aide des technologies modernes, il prouve de façon définitive que la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère influe sur la capacité de l’air à retenir les rayons infrarouges et la chaleur. Ce sont les premières définitions du réchauffement climatique.

La prise de conscience

Dans les années 60, plusieurs scientifiques vont montrer que les présomptions sur l’effet de serre s’avèrent en fait réelles. Charles David Keeling prouve par exemple que la concentration de CO2 dans l’atmosphère augmente progressivement grâce à ses mesures près de Hawaï. Roger Revelle prouva que le carbone dégagé par la combustion d’énergie fossiles n’était pas immédiatement absorbé par l’océan. Les scientifiques commencent à se préoccuper de plus en plus du réchauffement climatique, et de ce fait, la société politique va commencer à prendre en compte ce problème.
En 1971 le premier Sommet de la Terre évoque pour la première fois dans une grande conférence internationale la définition du réchauffement climatique et ses conséquences. En 1972, John Sawyer publie un rapport scientifique mettant en évidence de façon de plus en plus claire les liens entre le réchauffement climatique et l’effet de serre. Pendant encore plus d’une décennie, les preuves s’accumulent dans la communauté scientifique au point qu’au milieu des années 1980, les 7 plus grandes puissances économiques mondiales (le G7) demandent à l’ONU de créer un groupe d’experts chargés d’étudier la question. C’est la première fois qu’il y a une vraie prise en compte et une vraie définition du réchauffement climatique comme problème public par les institutions internationales.

Les premiers rapports du GIEC

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est créé en 1988 avec pour objectif d’étudier l’évolution du phénomène de réchauffement climatique et ses conséquences. Il rassemble des centaines de scientifiques, climatologues, géologues, océanographes, biologistes, mais aussi des économistes, sociologues, ou ingénieurs et d’autres spécialistes de divers domaines afin d’avoir une vision globale de ce phénomène.
Le GIEC est structuré en trois groupes de travail:

  • le premier afin d’étudier le changement climatique en tant que phénomène : le processus, son ampleur ;
  • le second spécialisé sur les conséquences du réchauffement climatique, la vulnérabilité des écosystèmes et des sociétés et l’adaptation au réchauffement climatique ;
  • enfin le dernier groupe est chargé d’étudier la question de la lutte contre le réchauffement climatique.

Le GIEC rend son premier rapport en 1990, puis plusieurs autres périodiquement jusqu’à son dernier rapport en 2014. Dans ces rapports, la communauté scientifique du GIEC analyse les causes du réchauffement climatique, et son impact sur l’écosystème et sur la société, en élaborant des modèles prédictifs. À partir de ces modèles et de ces prévisions, les pouvoirs publics et les entreprises peuvent mettre en place des stratégies pour lutter contre le réchauffement climatique ou pour mieux s’y adapter.

Les causes

Les modèles du GIEC ont permis d’établir les causes du réchauffement climatique, c’est-à-dire de savoir d’où provient ce réchauffement climatique, ce qui le provoque. Grâce aux scientifiques, on sait que ce sont principalement les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine qui influencent le climat. Mais d’où viennent ces émissions ?
Principalement, c’est la production d’énergie (électricité, chauffage) et de carburant pour les transports (principalement les voitures, mais aussi en partie l’aviation ou le transport maritime) qui causent le réchauffement climatique. Ensuite arrivent la gestion des territoires et notamment la déforestation, l’agriculture mais aussi l’élevage. Pour en savoir plus, voir : Les causes du réchauffement climatique.

Les conséquences

Grâce aux travaux du GIEC et des autres scientifiques qui travaillent sur la définition du réchauffement climatique, on comprend désormais mieux les conséquences de ce phénomène sur notre vie. Dans l’esprit de beaucoup, le réchauffement climatique est un problème relativement lointain qui implique simplement qu’il va faire plus chaud. Mais en fait, les conséquences sont beaucoup plus profondes.

Conséquences sur l’écosystème et la planète

D’abord, une augmentation des températures à cause du réchauffement climatique affecte l’ensemble de l’écosystème mondial et pas seulement la chaleur ressentie. La météo s’en trouve perturbée, avec une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes, des changements des modèles météorologiques habituels. Cela veut dire plus de tempêtes, plus d’inondations, plus de cyclones et de sécheresses.

La capacité de régulation des océans est aussi affectée par une augmentation des températures. Si les températures globales augmentent de façon très importante, il y aura donc augmentation des niveaux des océans, mais aussi une acidification et une désoxygénation des zones océaniques. En outre, une acidification des océans trop prononcée pourrait limiter la capacité des mers de la planète à produire de l’oxygène et à stocker le CO2, et donc augmenter encore le réchauffement climatique. Mais cela peut aussi affecter des zones de forêts et les écosystèmes fragiles (barrière de corail, forêt amazonienne) ainsi que la biodiversité (les coraux, certains insectes et même des mammifères pourraient ne pas survivre).

  • Les conséquences du réchauffement climatique sur les océans

Conséquences sur la société et l’économie

Sur la société et l’économie, le réchauffement climatique peut avoir potentiellement plusieurs conséquences : la capacité des sociétés à s’adapter à un nouveau climat, à adapter leurs infrastructures, notamment médicales, mais aussi leurs bâtiments. Le réchauffement climatique aura aussi des conséquences sur la santé publique, la capacité alimentaire des pays…
Pour plus d’informations

  • Les conséquences du réchauffement climatique sur la société
  • Les risques économiques du réchauffement climatique

Conséquences sur les entreprises

Enfin, les entreprises risquent également d’être affectées par le changement et le réchauffement climatique. En effet, dans un contexte où le climat change, il est plus difficile d’adapter ses activités.
Pour en savoir plus :

  • Les conséquences du réchauffement climatique sur les entreprises

Comment lutter contre le réchauffement climatique

Pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut avant tout réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Pour cela, le premier moyen est de se tourner vers les énergies renouvelables et d’éviter les énergies fossiles. Mais il faut aussi réduire sa consommation énergétique, éviter le gaspillage alimentaire, mieux se nourrir en évitant les produits qui ont une trop grosse empreinte carbone, optimiser l’utilisation des ressources… En résumé, il faut adapter notre mode de vie à la notion de résilience et de développement durable. Il faut aussi transformer nos sociétés pour aller vers un modèle industriel et une mondialisation qui prenne en compte l’écologie.
Pour plus d’informations :

  • 10 actions à mettre en place dans les entreprises pour lutter contre le réchauffement climatique
  • Comment lutter contre le gaspillage alimentaire ?
  • Comment lutter contre le réchauffement climatique concrètement ?

Le réchauffement climatique : mythe ou réalité ?

Comme de nombreux problèmes sociaux et scientifiques, le réchauffement climatique a été dès le départ l’objet de polémiques. Certains scientifiques et commentateurs ont remis en cause le réchauffement climatique. On les appelle les climato-sceptiques. Plusieurs arguments sont invoqués, par exemple :

« Le réchauffement climatique n’existe pas, c’est un mensonge »

Cet argument souvent utilisé par des sceptiques voudrait que le réchauffement climatique soit un mensonge, inventé par les Etats, ou les élites mondiales et les médias. Aucune preuve ou explication n’a pu être apporté pour étayer cet argument.

  • Le réchauffement climatique est-il un mensonge ?

« Le réchauffement climatique est naturel, ce n’est pas grave »

Cet argument est souvent avancé par des scientifiques climato-sceptiques pour remettre en cause l’attention médiatique dont bénéficie le réchauffement climatique. Leur idée est que le changement climatique est un phénomène naturel, normal et cyclique, et qu’il n’y a pas lieu de s’en inquiéter. Les travaux de Keeling ou Revelle, puis les travaux du GIEC et des centaines de travaux indépendants plus récents ont prouvé que cet argument était faux, et que le réchauffement climatique était bel et bien un phénomène d’origine humaine et qu’il était dangereux sur le plan des écosystèmes et des sociétés.
Pour plus d’infos :

  • Le réchauffement climatique est-il réel ?
  • Les conséquences du réchauffement climatiques sur la planète et la météo
  • Les conséquences sociales du réchauffement climatique
  • Le réchauffement climatique pourrait entraîner une crise économique globale

L’origine humaine du réchauffement climatique : les gaz à effet de serre

Certains scientifiques remettent également en cause l’origine humaine du réchauffement climatique, en expliquant que le CO2 rejeté dans l’atmosphère par les activités humaines n’affecte pas réellement le climat et l’écosystème. Ils avancent que ces gaz sont soit régulés par les écosystèmes, soit qu’il n’est pas rejeté en quantités suffisantes pour avoir un impact, ou encore que d’autres gaz (comme la vapeur d’eau) ont un impact plus important sur le réchauffement climatique que le CO2 industriel. Bien que toutes ces positions soient en partie vraies, elles ne remettent pas en cause l’origine humaine du réchauffement climatique. Ainsi, le CO2 est bien absorbé en partie par l’océan et par les plantes, mais pas suffisamment rapidement pour être régulé, par exemple.
Pour plus d’informations :

  • Quel est vraiment l’impact des activités de l’homme sur le réchauffement climatique ?
  • Le réchauffement climatique ; mythe ou réalité ?

On ne sait pas vraiment comment fonctionne le climat et donc le réchauffement climatique

D’autres climato-sceptiques avancent que la science climatique étant très complexe et constituée très nombreux facteurs, il est difficile voire impossible de prévoir les conséquences d’un évènement comme l’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère. Ces critiques remettent donc en cause la fiabilité des modèles du GIEC et donc leurs prédictions, selon des degrés variables.
Bien qu’il soit vrai que la climatologie est une science complexe, les prévisions faites jusque-là sur l’augmentation des températures et les conséquences météorologiques du réchauffement climatique sont sont avérées plutôt proches de la réalité.

Le consensus scientifique sur le réchauffement climatique

Au final, l’écrasante majorité des scientifiques mondiaux dans tous les domaines concernés s’accordent sur les causes du réchauffement climatique et sur la plupart de ses conséquences sur les écosystèmes et sur la société. Il n’y a donc pas de doute sur le plan scientifique sur l’existence du réchauffement climatique. Reste à savoir ce que l’on souhaite faire sur le plan politique et social de cette définition du réchauffement climatique.

Actualités du réchauffement climatique

Pour en savoir plus sur les actualités liées au réchauffement climatique, rendez-vous sur notre rubrique spéciale : Actualités du réchauffement climatique.

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Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique ?

intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.

Quelles sont les causes et les conséquences du réchauffement climatique ?

Une augmentation des gaz à effet de serre suite aux activités de l'homme piège une partie de ce rayonnement, ce qui provoque une hausse de la température des surfaces jusqu'à trouver un nouvel équilibre. C'est la cause principale du réchauffement climatique observé ces dernières décennies.

Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique selon le GIEC ?

L'indispensable adaptation Plus inquiétant, le GIEC identifie des seuils de réchauffement provoquant des impacts irréversibles sur la perte de la biodiversité et pointe le fait que certaines limites d'adaptation ont déjà été atteintes.

Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique et comment limiter notre impact ?

Impacts socio-économiques Baisse des rendements céréaliers (blé, riz, maïs) dans les régions tempérées et tropicales. Baisse des ressources d'eau potable dans les régions subtropicales sèches. Risques accrus dus aux inondations, glissements de terrain, tempêtes. Hausse des déplacements de population.